Tourisme -Thermalisme
- Mairie d'Argelès-Gazost
6 place de la République
65400 ARGELÈS-GAZOST
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Fax : 05.62.97.50.18
Ouvert du lundi au vendredi : 9h-12h, 13h30-17h30 et le samedi 9h-12h
Histoire du marché
Extrait du bulletin municipal n°4 - Décembre 1992
Certaines dates ont marqué l'histoire du monde, l'histoire d'un pays, l'histoire d'une ville. En cette année 1992 nous avons fêté le 5e centenaire de la découverte du nouveau monde par Christophe COLOMB. Plus discret a été le bicentenaire de la république proclamée au lendemain de la bataille de Valmy. Quant au 7e centenaire du marché d'Argelès il est resté dans l'oubli le plus total. Si quelques imprécisions bien compréhensibles demeurent sur la date exacte de sa création nous pouvons cependant dire qu'il existait en 1292. En effet on sait que le 15 octobre 1290 il est déjàfait mention d'une place du marché sur laquelle les Lavedanais ont proclamé les droits de Constance, comtesse de Bigorre.
Ce marché est devenu au cours des siècles pour notre ville une véritable institution qui a bravé la lassitude des ans. Il fait partie intégrante de notre patrimoine ethnographique car il a façonné la vie et les mœurs des argelésiens.
Certains auteurs sont allés jusqu'àdire qu'il est àl'origine du nom de notre ville. Une tradition voudrait qu'àl'origine la place du marché située géographiquement entre les communautés mères d'Ourout et de Vieuzac ait accueilli des potiers qui travaillaient l'argile avec talent "LES ARGUILLES". Ainsi ce lieu serait devenu Arguillés et par déformation Argelès, trait d'union entre les deux pôles urbains qui s'uniront définitivement en 1824 pour ne faire qu'une seule commune. La tradition est belle et avouez qu'elle mérite d'être évoquée même si elle diffère peut-être de la réalité.
Les premiers marchés connus se sont toujours tenus le mardi, d'abord sur la place de la Péguille puis sur la place du Pouey face àla maison de ville. Contrairement àd'autres lieux les produits commercialisés sur le marché étaient exempts du droit de leude, sorte de taxe de péage. Il en était ainsi suite àun traité passé entre le Duc d'Anjou et les vallées du Lavedan en 1371. La Péguille était surtout réservée àla vente des animaux lourds, chevaux, ânes, mulets, bœufs, vaches, moutons, brebis et porcs, les autres produits agricoles, beurres, fromages, laines, cuirs, châtaignes, noix, pommes, glands, lins et céréales trouvaient place sur le Pouey du marché ou dans la rue y conduisant. Ce n'est que bien plus tard que le marché occupera l'ensemble des rues et places de la ville haute. Au XVIle siècle le marché n'est encore alimenté que par les produits agricoles ou artisanaux élaborés dans les basses vallées. L'Estrem de Salles en a le privilège. De ce fait ses habitants sont exempts de la leude sur le gros bétail et les fruits et légumes, ces derniers ont également la possibilité de tenir étal sur le marché et d'utiliser pour la vente leurs poids et mesures.
C'est vers la fin de ce siècle que le marché prendra de l'extension pour occuper progressivement la place de Halle, aujourd'hui place de l'église. Les marchands de la plaine plus spécialement de Lourdes vont monter vers Argelès par un chemin cahoteux avec leurs charrettes pour proposer leurs étoffes, leurs tissus de laine, les cuirs et les sabots et surtout les fameux cohas, bonnets de laine très prisés des lavedanais. Un arrêté de 1686 les maintient dans l'exemption du droit de leude déjàlargement appliqué pour les marchands des vallées.
Ce rassemblement hebdomadaire tous les mardis de vendeurs et d'acheteurs n'est pas sans créer de multiples soucis aux consuls de l'époque qui sont tenus d'assurer l'ordre et la sécurité tout en veillant que les prix et les poids soient correctement appliqués. Il existe un contrôle régulier des poids et mesures et plus particulièrement des pugnères àgrains dont la conformité est justifiée par une marque faite au fer rouge en la Maison de Ville. Ce sont les pains et les viandes qui font l'objet du contrôle le plus sérieux. Toute effraction sur le poids ou le prix se traduit par une confiscation du produit qui est alors distribué aux pauvres. Il y a des délits plus graves comme le vol àl'étalage. Quand le coupable est pris et avoue humblement son forfait, il est tenu de restituer le bien dérobé et passible de 24 heures ou plus de cachot en la Maison de Ville. Il y a eu parfois des troubles bien plus graves et des querelles de cabaret qui sont allés jusqu'au meurtre. Ce fut le cas en 1782 de celui relaté par le consul DAITEG et couché sur le registre par le secrétaire BIAU qui était également le régent d'Argelès. Le drame s'est passé dans le cadre du cabaret de Dame FRINGUETTE ou PETROU de Sireix et CAZERE le valet de ville d'Argelès furent mortellement blessés àcoup de couteaux. Le marché était aussi un lieu ou se diffusaient facilement les informations. C'est sur la place du Pouey au bruit de la "caisse" du valet consulaire que se faisaient les annonces et les publications des adjudications. Au XVIlle siècle un coin de la place de la halle était réservé au marché aux "chaumes". Les grainetiers de Lourdes, Adé, St Pé, Peyrouse, Nay, Ossun, y vendaient régulièrement leurs produits. Il leur était consenti d'utiliser leurs mesures moyennant une taxe de 2 sols pour les bigourdans et 5 pour les béarnais. Le marché pratique le taulage, c'est-à-dire qu'un préposé aux étals fournit planches et tréteaux. Il a obtenu cette concession annuellement de la communauté au terme d'une adjudication publique. Lorsque la révolution prend corps en 1792 le marché se maintient tous les mardis aux lieux accoutumés. Malgré la mise en application du calendrier républicain en janvier 1793 la tradition se poursuit. Ce n'est qu'en 1798 que les choses se gâtent. Le Directoire du District en la personne de son Commissaire PLANTE va exiger que le marché se déroule le troisième jour de la décade révolutionnaire. Les vendeurs et les acheteurs de la ville en sont informés officiellement au son de la "caisse". Mais l'avertissement et les menaces de sanctions furent sans effet, malgré l'intervention de l'agent municipal et de la gendarmerie. Voulant éviter des troubles l'agent municipal donna ordre aux gendarmes de se retirer. Jusqu'en 1802 le marché eut lieu tant bien que mal puis reprit son cycle hebdomadaire tous les mardis pour ne plus en changer.
Pendant la décennie révolutionnaire le marché resta sous le contrôle des autorités du fait des restrictions et des difficultés d'approvisionnement. Tous les produits devaient être obligatoirement présentés sur le marché pour la vente, la vente àdomicile étant strictement interdite. Plusieurs sanctions furent prises contre des marchands de fromages d'Ouzous qui avaient enfreint le règlement. Les produits selon une bonne coutume étaient distribués aux pauvres.
Lorsque en 1824 la commune de Vieuzac fusionna avec Argelès, l'une des conditions présentées par les vieuzacais fut l'établissement sur leur terroir d'un marché pour le bétail àlaine. Cette clause ne fut jamais remplie puisque il en existait un depuis des temps immémoriaux àArgelès.
Rapidement la nouvelle agglomération allait se donner un champ de foire plus central le Foirail. Autrefois utilisé en prairie pour parquer les animaux il fut aménagé pour satisfaire àcette utilisation. La construction de l'église en 1860 qui donnait un nouveau cœur àla ville entre la vieille place de la halle et le nouveau foirail allait désormais pérenniser cet emplacement. Durant tout le XIXe siècle le marché du mardi reste l'activité majeure de la ville. Les municipalités successives s'attacheront àl'organiser et àle réglementer. Les droits de place feront l'objet de cahiers des charges précis soumis aux adjudicataires tout comme les droits de stationnement. Les tarifs seront déterminés pour chaque produit en fonction de leur nature et de la superficie des étals. Les tombereaux, les jardinières, les charrettes seront interdits sur le marché et tenus de stationner hors du centre ville. Un droit de stationnement sera calculé suivant la surface et le nombre de roues du véhicule.
Le marché est très vivant. A côté des étals, on trouve les arracheurs de dents, funambules, les manèges, les spectacles forains, les camelots, les montreurs d'animaux et d'ours, les jeux, les vendeurs de chansons ou de complaintes.
Durant l'hiver un grand emplacement est réservé pour le marché aux porcs qui fait l'objet de tarifs de stationnement et de garde spéciaux.
Au milieu du XXe siècle l'appauvrissement progressif de l'agriculture et de l'élevage valléen, vont voir disparaître la vente des céréales et des produits fermiers. La Péguille sera alors désaffectée et le marché centré sur le Foirail. Actuellement si la nature des produits vendus a évoluée son importance demeure grâce aux apports les plus divers.
Si notre marché est un lieu de vente privilégié, il est pour beaucoup un lieu de rencontre, un lieu d'échange d'informations et d'idées.
Conservons àce multi centenaire cette convivialité, cette joie du regard, de la parole aimable partagé entre amis, donnons lui cet esprit de fête pour qu'au travers du matériel qu'il représente transparaisse la pensée qui donne àce rassemblement communautaire la joie de vivre et de cheminer ensemble.
Georges Peyruc Président de la Société d'Etude des 7 Vallées
Certaines dates ont marqué l'histoire du monde, l'histoire d'un pays, l'histoire d'une ville. En cette année 1992 nous avons fêté le 5e centenaire de la découverte du nouveau monde par Christophe COLOMB. Plus discret a été le bicentenaire de la république proclamée au lendemain de la bataille de Valmy. Quant au 7e centenaire du marché d'Argelès il est resté dans l'oubli le plus total. Si quelques imprécisions bien compréhensibles demeurent sur la date exacte de sa création nous pouvons cependant dire qu'il existait en 1292. En effet on sait que le 15 octobre 1290 il est déjàfait mention d'une place du marché sur laquelle les Lavedanais ont proclamé les droits de Constance, comtesse de Bigorre.Ce marché est devenu au cours des siècles pour notre ville une véritable institution qui a bravé la lassitude des ans. Il fait partie intégrante de notre patrimoine ethnographique car il a façonné la vie et les mœurs des argelésiens.Certains auteurs sont allés jusqu'àdire qu'il est àl'origine du nom de notre ville. Une tradition voudrait qu'àl'origine la place du marché située géographiquement entre les communautés mères d'Ourout et de Vieuzac ait accueilli des potiers qui travaillaient l'argile avec talent "LES ARGUILLES". Ainsi ce lieu serait devenu Arguillés et par déformation Argelès, trait d'union entre les deux pôles urbains qui s'uniront définitivement en 1824 pour ne faire qu'une seule commune. La tradition est belle et avouez qu'elle mérite d'être évoquée même si elle diffère peut-être de la réalité.Les premiers marchés connus se sont toujours tenus le mardi, d'abord sur la place de la Péguille puis sur la place du Pouey face àla maison de ville. Contrairement àd'autres lieux les produits commercialisés sur le marché étaient exempts du droit de leude, sorte de taxe de péage. Il en était ainsi suite àun traité passé entre le Duc d'Anjou et les vallées du Lavedan en 1371. La Péguille était surtout réservée àla vente des animaux lourds, chevaux, ânes, mulets, bœufs, vaches, moutons, brebis et porcs, les autres produits agricoles, beurres, fromages, laines, cuirs, châtaignes, noix, pommes, glands, lins et céréales trouvaient place sur le Pouey du marché ou dans la rue y conduisant. Ce n'est que bien plus tard que le marché occupera l'ensemble des rues et places de la ville haute. Au XVIle siècle le marché n'est encore alimenté que par les produits agricoles ou artisanaux élaborés dans les basses vallées. L'Estrem de Salles en a le privilège. De ce fait ses habitants sont exempts de la leude sur le gros bétail et les fruits et légumes, ces derniers ont également la possibilité de tenir étal sur le marché et d'utiliser pour la vente leurs poids et mesures.C'est vers la fin de ce siècle que le marché prendra de l'extension pour occuper progressivement la place de Halle, aujourd'hui place de l'église. Les marchands de la plaine plus spécialement de Lourdes vont monter vers Argelès par un chemin cahoteux avec leurs charrettes pour proposer leurs étoffes, leurs tissus de laine, les cuirs et les sabots et surtout les fameux cohas, bonnets de laine très prisés des lavedanais. Un arrêté de 1686 les maintient dans l'exemption du droit de leude déjàlargement appliqué pour les marchands des vallées.Ce rassemblement hebdomadaire tous les mardis de vendeurs et d'acheteurs n'est pas sans créer de multiples soucis aux consuls de l'époque qui sont tenus d'assurer l'ordre et la sécurité tout en veillant que les prix et les poids soient correctement appliqués. Il existe un contrôle régulier des poids et mesures et plus particulièrement des pugnères àgrains dont la conformité est justifiée par une marque faite au fer rouge en la Maison de Ville. Ce sont les pains et les viandes qui font l'objet du contrôle le plus sérieux. Toute effraction sur le poids ou le prix se traduit par une confiscation du produit qui est alors distribué aux pauvres. Il y a des délits plus graves comme le vol àl'étalage. Quand le coupable est pris et avoue humblement son forfait, il est tenu de restituer le bien dérobé et passible de 24 heures ou plus de cachot en la Maison de Ville. Il y a eu parfois des troubles bien plus graves et des querelles de cabaret qui sont allés jusqu'au meurtre. Ce fut le cas en 1782 de celui relaté par le consul DAITEG et couché sur le registre par le secrétaire BIAU qui était également le régent d'Argelès. Le drame s'est passé dans le cadre du cabaret de Dame FRINGUETTE ou PETROU de Sireix et CAZERE le valet de ville d'Argelès furent mortellement blessés àcoup de couteaux. Le marché était aussi un lieu ou se diffusaient facilement les informations. C'est sur la place du Pouey au bruit de la "caisse" du valet consulaire que se faisaient les annonces et les publications des adjudications. Au XVIlle siècle un coin de la place de la halle était réservé au marché aux "chaumes". Les grainetiers de Lourdes, Adé, St Pé, Peyrouse, Nay, Ossun, y vendaient régulièrement leurs produits. Il leur était consenti d'utiliser leurs mesures moyennant une taxe de 2 sols pour les bigourdans et 5 pour les béarnais. Le marché pratique le taulage, c'est-à-dire qu'un préposé aux étals fournit planches et tréteaux. Il a obtenu cette concession annuellement de la communauté au terme d'une adjudication publique. Lorsque la révolution prend corps en 1792 le marché se maintient tous les mardis aux lieux accoutumés. Malgré la mise en application du calendrier républicain en janvier 1793 la tradition se poursuit. Ce n'est qu'en 1798 que les choses se gâtent. Le Directoire du District en la personne de son Commissaire PLANTE va exiger que le marché se déroule le troisième jour de la décade révolutionnaire. Les vendeurs et les acheteurs de la ville en sont informés officiellement au son de la "caisse". Mais l'avertissement et les menaces de sanctions furent sans effet, malgré l'intervention de l'agent municipal et de la gendarmerie. Voulant éviter des troubles l'agent municipal donna ordre aux gendarmes de se retirer. Jusqu'en 1802 le marché eut lieu tant bien que mal puis reprit son cycle hebdomadaire tous les mardis pour ne plus en changer.Pendant la décennie révolutionnaire le marché resta sous le contrôle des autorités du fait des restrictions et des difficultés d'approvisionnement. Tous les produits devaient être obligatoirement présentés sur le marché pour la vente, la vente àdomicile étant strictement interdite. Plusieurs sanctions furent prises contre des marchands de fromages d'Ouzous qui avaient enfreint le règlement. Les produits selon une bonne coutume étaient distribués aux pauvres.Lorsque en 1824 la commune de Vieuzac fusionna avec Argelès, l'une des conditions présentées par les vieuzacais fut l'établissement sur leur terroir d'un marché pour le bétail àlaine. Cette clause ne fut jamais remplie puisque il en existait un depuis des temps immémoriaux àArgelès.Rapidement la nouvelle agglomération allait se donner un champ de foire plus central le Foirail. Autrefois utilisé en prairie pour parquer les animaux il fut aménagé pour satisfaire àcette utilisation. La construction de l'église en 1860 qui donnait un nouveau cœur àla ville entre la vieille place de la halle et le nouveau foirail allait désormais pérenniser cet emplacement. Durant tout le XIXe siècle le marché du mardi reste l'activité majeure de la ville. Les municipalités successives s'attacheront àl'organiser et àle réglementer. Les droits de place feront l'objet de cahiers des charges précis soumis aux adjudicataires tout comme les droits de stationnement. Les tarifs seront déterminés pour chaque produit en fonction de leur nature et de la superficie des étals. Les tombereaux, les jardinières, les charrettes seront interdits sur le marché et tenus de stationner hors du centre ville. Un droit de stationnement sera calculé suivant la surface et le nombre de roues du véhicule.Le marché est très vivant. A côté des étals, on trouve les arracheurs de dents, funambules, les manèges, les spectacles forains, les camelots, les montreurs d'animaux et d'ours, les jeux, les vendeurs de chansons ou de complaintes.Durant l'hiver un grand emplacement est réservé pour le marché aux porcs qui fait l'objet de tarifs de stationnement et de garde spéciaux.Au milieu du XXe siècle l'appauvrissement progressif de l'agriculture et de l'élevage valléen, vont voir disparaître la vente des céréales et des produits fermiers. La Péguille sera alors désaffectée et le marché centré sur le Foirail. Actuellement si la nature des produits vendus a évoluée son importance demeure grâce aux apports les plus divers.Si notre marché est un lieu de vente privilégié, il est pour beaucoup un lieu de rencontre, un lieu d'échange d'informations et d'idées.Conservons àce multi centenaire cette convivialité, cette joie du regard, de la parole aimable partagé entre amis, donnons lui cet esprit de fête pour qu'au travers du matériel qu'il représente transparaisse la pensée qui donne àce rassemblement communautaire la joie de vivre et de cheminer ensemble.
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